
Toi qui avais déclenché mes délires
Et ravivé mes désirs sans mesures,
En les sortant d’une triste masure
Tu as vaincu les offenses du temps
Et les ombres épaisses de la déraison.
Détends-toi ! Sens ce souffle chaud
Qui traverse ta poitrine sur les flots
De mes soupirs, déguste la douceur
Et la chaleur que répandent, l’ardeur
Et la magie des mains gourmandes
Qui arpentent ta belle poitrine ronde.

2 commentaires:
Belle poésie chère bloguiste ! vous devez avoir .... une belle source d'inspiration? Charles
Fidèle internaute, je vous remercie pour votre compliment.....immérité ,cependant! Une source, est toujours intarissable, de par nature ! Elle conduit aux fleuves puis aux océans infinis !! Il suffit de se laisser porter ! Bien amicalement zizou
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